Miss Teek
Ce texte m'a été suggéré bien involontairement par une amie proche... je ne pouvait donc pas le publier sans le lui dédicacer.
A ma Néru...
Pianotant en soirée, sur les touches du clavier
Je cherchais réconfort et pourtant j'avais tord.
Rebutantes pensées qui pourtant m'obsédaient
Malgré tous tes efforts, tu n'aurais pu m'aider.
Quels que soient tes mots tels qu'étaient tes gestes,
J'avais sans repos enterré les restes
de ma vie amoureuse, au destin funeste.
Comme si la faucheuse s'en servait de leste.
Les impasses s'accumulaient et rien ne changait.
Je pleurais tu me consolais.
Et puis un jour vînt ton grand amour,
Allons sans détour: ma jalousie voyait le jour.
Ton bonheur m'emplissait de joie
Pourtant ta voix faisait mon malheur
Seulement pour toi je cachait mon coeur
Puisque ton ame soeur te rendait la foi
C'est cette foi que je jalousais
Perdue pour moi qui y rennonçais.
Ma jalousie pris fin,
Dès que je perçu ton chagrin.
De ton aimé séparée, en silence tu pleurais.
Il en fallait de peu, que je manque ce qui me crèvait les yeux
L'amitié avait surplanté la jalousie
Et c'était bien mieux ainsi
Que l'on m'y reprenne encore,
A jalouser des amies en or,
Je crierai alors haut et fort
Ces raisons qui m'avaient donné tord.